Hier, beauuuucoup de gens sur Instagram partageaient le logo du Manifeste de la résilience publié par le Réseau des fermiers et fermières de famille et on comprend pourquoi. Cette révolution demande une agriculture québécoise écologique, collective et durable.
Le puissant texte d’Elisabeth Cardin demande plus d’initiatives agricoles et éducatives qui aideraient les écosystèmes naturels et humains. Nécessaires et pleines d’espoir, ces ambitions réclament entre autres de plus en plus de fermes biologiques à proximité, inclusives et cohérentes avec les besoins de notre territoire et de notre société. Le gouvernement est appelé à prendre des mesures solides afin d’apporter des changements qui seraient grandement bénéfiques.
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Les illustrations de Cath Laporte – directrice de création, artiste, conférencière et fermière – mettent en image les idées du manifeste de manière merveilleuse et efficace. On appui de tout coeur cette révolution alimentaire québécoise et on leur souhaite une grande écoute, un énorme soutien et de gros changements.
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« Afin de guider l’État vers ces actions concrètes, chaque citoyen-ne peut soutenir et exiger la transformation de l’industrie agroalimentaire; en s’engageant auprès d’un-e fermier-ère de famille, en fréquentant les marchés fermiers et les épiceries bio-locales, en variant son alimentation avec les saisons, en exigeant des municipalités qu’elles se dotent de plates-bandes comestibles et de lieux alimentaires publics, en remplaçant son gazon par des plantes aromatiques, médicinales, mellifères ou potagères, en s’impliquant dans le choix des ingrédients servis dans les écoles et dans les centres hospitaliers. » – Extrait du manifeste
Pour lire le Manifeste de la résilience, c’est juste ici.
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