Au total, ce sont quelques centaines de personnes qui se sont rassemblées le week-end dernier pour demander justice pour Mamadi.
Une seconde manifestation
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Une deuxième manifestation a également eu lieu la fin de semaine passée, dimanche le 7 février, cette fois devant le Quartier général du SPVM, au Quartier des spectacles, menée par les groupes Tout le hood en parle, Black Lives Matter Montréal, Hoodstock Montréal et la Coalition pour le définancement de la police.
Célébrer le «black joy»
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Cette deuxième manifestation était non seulement un moyen d'exprimer plusieurs demandes (un port constant de la caméra corporelle par les agents du SPVM, un examen approfondi de la situation, etc.), mais aussi l'occasion pour plusieurs membres de la communauté noire montréalaise de célébrer le mois de l'histoire des noir.e.s, et le fameux « black joy » grâce à un DJ set par Mansa, DJ montréalaise issue de la communauté BIPOC.
Dénoncer pour protéger
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C'est dans le même esprit que le mouvement Black Lives Matter (#BLM) que les manifestants présents au rassemblement de vendredi dernier, dans Parc-Extension, demandaient que la situation soit examinée de plus près et que des changements soient apportés. Dénoncer cette arrestation, pour eux, est une façon de protéger la communauté BIPOC montréalaise, puisque « ça pourrait nous arriver à tous », comme l'expliquaient plusieurs.
La population mécontente
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Ce sont donc une centaine de manifestants qui se sont réunis à la station de métro Parc, vendredi dernier, le 5 février 2021, afin de dénoncer l'arrestation de Mamadi III Fara Camara.