Si vous tournez en rond dans votre salon et avez terminé tous les séries et films sur Netflix, ce festival est pour vous!
Plein(s) Écran(s), c’est un festival virtuel qui partage du court métrage avec le public, et ce, gratuitement sur Facebook, rendant l’événement accessible de partout dans le monde! D’ailleurs, l’année dernière, c’est près de 3,7 millions de visionnements qu’a cumulé le festival.
Et, pour une troisième année consécutive, c’est Julianne Côté, actrice québécoise, qui sera la porte-parole officielle de l’événement!
Né en 2016, le festival célébrera cette année son 5e anniversaire, et inaugurera donc trois nouvelles sections, en plus d’un tout nouveau site Web!
La section Insomniaque(s) proposera un total de 11 courts métrages diffusés sur Facebook après 23h, la section Impression(s) amènera le court métrage sur Instagram avec 8 films, puis la section Jeunesse(s), établit en collaboration le Carrousel international du film de Rimouski, proposera de son côté un programme de 6 courts métrages.
Tandis que la cinquième édition du festival se déroulera du 13 au 25 janvier 2021, voici pour le moment la programmation complète, dévoilée plus tôt cette semaine, le 4 janvier 2021.
Le concept est simple: 4 courts métrages par jour, disponibles pendant 24 h, gratuits en ligne sur la page Facebook de Plein(s) Écran(s).
En plus des courts métrages, Plein(s) Écran(s) propose aussi des classes de maître, qui mettront de l’avant cette année le réalisateur de renommée internationale Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y, Dallas Buyers Club, Big Little Lies), et Maria Gracia-Turgeon (Fauve et Brotherhood, deux courts métrages québécois finalistes aux Oscars en 2019 et 2020). Ces deux classes de maître seront respectivement animées Patrice L.Paquet, idéateur derrière le projet Plein(s) Écran(s) et réalisateur (Viaduc, Jusqu’au Déclin), et par Paul Landriau.
L’équipe propose aussi une nouvelle formule avec 5 projections commentées, dont une présentée par Antitube — Plein(s) Écran(s) explorera donc cette fois un format hybride entre la « version DVD commentée par le réalisateur » et le Live stream Twitch, bien connu dans le monde du jeu vidéo.
Animée par Nicolas Krief, une série d’entretiens en balado (podcast) avec les créateurs des courts métrages en compétition québécoise sera disponible pour une deuxième année consécutive, grâce au soutien de la Caisse Desjardins de la Culture.
« Pour nos 5 ans et le début de l’an 2021, j’avais envie de créer une grande célébration du court [métrage] qui réunirait d’autres initiatives numériques au Québec. La raison de vivre de Plein(s) Écran(s) s’inscrit dans un désir de rendre accessible le court métrage québécois partout sur notre territoire, à l’extérieur des grands centres, afin de le faire découvrir à des nouveaux publics. Nous ne sommes pas dans un esprit de compétition avec les forces vives de la diffusion numérique, au contraire, je crois que c’est le meilleur moyen d’être au service de notre public. C’est pour lui et le rayonnement de nos talents nationaux qu’on fait ça. Notre cinéma court est riche et de qualité et j’espère que cela peut amener à un éventuel mouvement vers la salle pour de nouveaux spectateurs », expliquait dans un communiqué Catherine Legaré-Pelletier, directrice générale de l’organisme.
Restez à l’affût pour en savoir plus sur cet incontournable festival!
Plein(s) Écran(s) est un organisme de diffusion principalement en ligne et en salle dont la mission est la découvrabilité et démocratisation du court métrage en le rendant accessible auprès du plus grand public dans le but d’éduquer, de sensibiliser et de divertir par le cinéma. Plein(s) écran(s) fait la promotion à l’année des talents du court métrage québécois afin de le faire rayonner au Québec, en région et à l’international.
Notre singularité est que nous sommes le premier festival au monde à avoir adopté un tel modèle et que notre identité numérique est inscrite à 100% dans notre ADN. Pour nous, incarner un festival en ligne n’est pas une solution à un problème de diffusion, mais avant tout un réel moyen d’exister. Cette particularité permet au public d’interagir avec les films et les artisan.e.s malgré les frontières physiques qui les séparent de l’offre culturelle