Dans un article publié aujourd’hui par le Global News, on apprenait qu’Harvey Weinstein, producteur de films hollywoodiens, était de nouveau accusé d’agression et d’harcèlement sexuel, à Los Angeles en Californie.
Ayant déjà été accusé plus tôt en 2019 de charges similaires, cette fois à New York, le producteur américain était alors un des gros noms dénoncés lors de la naissance du mouvement «#MeToo» — mouvement lancé (au départ) dans le but de dénoncer toutes les agressions ainsi que le harcèlement sexuel faisant rage dans le milieu hollywoodien, qu’il s’agisse de l’industrie de la musique ou du cinéma. En prenant expansion, le #Metoo a, par la suite, dénoncé toute forme de délit sexuel commis dans toutes les classes sociales et tous les milieux.
Malgré les nombreuses accusations portées contre M. Weinstein, aucune sentence n’a été perpétuée depuis les premières annonces de ses méconduites sexuelles.
Aujourd’hui accusé pour la seconde fois, il est poursuivi par le bureau du procureur du comté de Los Angeles pour copulation orale forcée, viol, pénétration sexuelle par usage de la force, et de violences sexuelles par contrainte.
Les sévices auraient pris place en 2013, sur une période de deux jours et à deux endroits différents.
Plusieurs femmes auraient été victimes du producteur, ayant pris avantage de son pouvoir et son statut tout au long de sa carrière cinématographique pour commettre ses délits sexuels.
Toutes ses victimes ont été encouragées à témoigner et porter plainte contre lui, afin de mettre fin à ses actions viles et sans scrupules.
