En 2009, pendant que leurs amis s’éparpillaient dans les universités américaines, les gars de Local Natives lâchaient tout, louaient une vieille maison (le Gorilla Manor) à Los Angeles et se lançaient à temps plein dans la création. Fonctionnant comme un véritable collectif, jouant chacun plusieurs instruments, ils ont pondu l’un des albums indie-pop les plus intéressants et riches de l’année en s’appropriant les percées d’Animal Collective ou de Fleet Foxes et en y injectant un peu de soleil californien et beaucoup d’imagination. Avertissement: crée une très forte dépendance.